Vinesh Saxena est né dans une petite ville (Bisauli) en Inde. Il a débuté l’école primaire dès la 4ème année. Il était le plus jeune d’une famille de 3 frères, une soeur, deux demi-frères et trois demi-soeurs. Dès le début de sa vie, Vinesh était un enfant différent. Il était toujours pensif, il ne croyait pas en la nécessité d’avoir plusieurs amis ou d’acquérir multiples possessions. Il se souvient de son père, un officier retraité du gouvernement. Il possédait une maison et recevait un revenu modéré pour sa retraite. La maison était grande avec plusieurs pièces et un grand terrain en avant, avec des arbres remplis d’orangers et de grenadiers. Ils avaient également un grand verger de manguiers et d’arbres de goyaves. Ce père montrait rarement un intérêt à élever son fils le plus jeune. Même lorsque venait le temps de payer les frais scolaires, il hésitait toujours. Il y avait même eu un incident où le professeur a refusé d’émettre son bulletin final. Lorsque le petit Vinesh est revenu à la maison, il a expliqué à sa famille que son père n’ayant pas payé les frais scolaires, le professeur l’a recalé. Cependant Vinesh se rappelle toujours de son père comme un administrateur judicieux et orienté vers l’accomplissement. Il se souvient que lorsqu’il lui a demandé à son père de payer son billet d’avion pour venir au Canada (ce qui était beaucoup d’argent à cette époque), son père lui a payé. Ceci est en lien avec le portait de l’administrateur judicieux que Vinesh s’était fait.
Regardant le monde autour de lui, Vinesh a réalisé que pour arriver à quelque chose et atteindre ses objectifs, il devait exceller dans ses études. C’est ce qui se produisit. Il a réussi ses études secondaires avec mention honorifique et s’est classé 17ème dans la province de Utter Pradesh. C’était une première, non seulement dans sa famille mais également dans sa ville et les villages environnants. Il a reçu la Bourse de mérite post métrique du gouvernement, qui était accordée à seulement 200 étudiants dans toute l’Inde en 1959. Cette bourse l’a soutenu dans ses études jusqu’à l’obtention d’un titre d’ingénieur. Après avoir fait son B. Sc., il s’est présenté aux examens d’admission en ingénierie à l’Institut Indien de Technologie ainsi qu’à l’université Roorkee. Il a été choisi par les deux; mais il a choisi IIT Delhi. Son frère Mahesh Saxena (qui est un des directeurs de la fondation) a également donner du support lorsqu’il était en ingénierie. Vinesh a finalement terminé 25ème à l’examen intermédiaire provincial de Utter Pradesh, 9ème in B.Sc. from Agra University et troisième au programme d’ingénierie de l’IIT de New Delhi.
Après avoir reçu ce titre de bachelier en ingénierie, il est venu au Canada pour poursuivre une maîtrise en ingénierie à l’Université du Nouveau Brunswick, puis il a reçu un MBA de l’Université McGill. Il est aussi membre de l’Ordre des Ingénieurs et de l’Association des Comptables Diplômés de Gestion et la Société d’ingénieurs de coût. Il a travaillé presque 25 années comme ingénieur avec Pratt et Whitney (dernière position comme chef de l’administration en ingénierie). Il a également enseigné à temps partiel aux universités Concordia et McGill. M. Saxena a travaillé sans relâche, à temps plein et en enseignant à temps partiel. Il a de l’immobilier et resté actif dans les marchés financiers.
À propos de se souvenir de quelques incidents de sa vie en Inde, Vinesh se souvient de plusieurs. Lorsqu’il a été sélectionné par les deux institutions scolaires de prestige (IIT et Rurkee), il dit qu’il aimerait rencontrer la personne qui a pris sa place à l’université Rurkee (puisque Vinesh n’est pas allé) et lui dire merci. Vinesh a réfléchi à propos de sa discipline de vie (se lever le matin à 6h, prendre une douche, faire du yoga, méditer et se préparer pour la journée et y être à 100%). À l’IIT de Delhi, il avait une bicyclette, qui est était un objet de luxe à l’époque (moins de 5% d’étudiants en possédaient une au gîte). Comment pouvait-il s’en payer une? Il se souvient que durant ses études, en cette période de 4 ans, il n’a même pas été voir un film, car toutes ses économies allaient à l’achat de cette bicyclette. (Cette expérience est devenu le Principe de remplacement et de discipline – cliquez sur Sept principes). Il dit qu’il aurait pu contacter les gens du Livre des records Guiness comme étant l’étudiant n’ayant pas vu un seul film dans un cinéma à Delhi, the capital of India.
Il a épousé une Québécoise. Ce mariage s’est soldé en divorce en 1989. Il a deux enfants – Lisa et Denis d’un premier mariage. Par la suite il s’est remarié à Meera Trivedi en 1995, qui l’a aidé à réaliser ses objectifs et débuter cette fondation. Elle travaillait aux États-Unis avec l’envie de commencer une fondation en offrant sa maison (en Inde), dans le but de la transformer en un centre de jour au nom de son frère décédé. Meera Trivedi est la directrice et la trésorière de cette fondation.
M. Saxena pratique le yoga depuis son enfance. Pour lui c’est sa routine comme manger ou dormir. Il a remarqué que les gens d’ici peuvent vraiment bénéficier de la pratique du yoga. C’est pourquoi avec Meera, son épouse, ils ont étudié au Patanjali yoga peeth Canada.
Depuis le début 2010, ils offrent gratuitement des sessions de yoga Divya, founded by Swami Ramdev chaque samedi de 9h à 11h, au gymnase de Chambly Academy à St-Lambert. Cette classe est ouverte à tous ceux qui veulent en bénéficier. Il dit que le yoga est comme une forme de médecine alternative qui peut soigner toutes les formes de maladies physiques et mentales à la racine. Ces séances consistent à faire des exercices physiques (appelés Asanas) et d’autres de respiration (Pranayam).
Bien que le voyage de Vinesh par se situe par événements dans le temps (éducation, travail, mariage, enfants etc., son esprit pensait toujours aux questions existentielles et fondamentales de l’être humain à propos de l’âme, la vie après la mort et l’existence de Dieu. La vie ne peut finir simplement après la mort, qu’elle est la suite ? Il a été élevé dans une famille indienne traditionnelle, de religion hindoue, mais vers l’âge de 14, il a commencé à ignorer les rituels religieux. Il s’est mis à étudier différentes religions (Hindou, Musulman, Sikh et le Christianisme etc.), Il est arrivé à la conclusion que l’on doit entamer une quête et aller vérifier au-delà de toutes ces religions (créées par les hommes) pour trouver notre spiritualité bien réelle.
Après avoir travaillé fort, presque quarante ans en sol canadien, en vivant humblement, sans extravagances, il s’est senti prêt à réaliser ses autres ambitions comme mettre sur pied cette fondation. Il l’a créé pour pouvoir donner et aider à son tour, par respect pour tout ce qu’il a aussi reçu de la vie qui l’a rendu un meilleur être humain.
Ce fond perpétuel a deux objectifs:
1. Aider les gens dans le besoin: M. Saxena a compilé sept principes de vie (voir prochaine section) qu’il considère comme les outils pour une vie plus harmonieuse. Sa conviction la plus profonde est que si les gens suivent ces principes, ils vont pouvoir gagner le contrôle complet sur leur vie et être heureux, s’affranchirent et devenir auto-suffisants.
Si,quelqu’un était dans le besoin, il/elle peut faire une demande (avec formulaire) pour recevoir de l’aide de cette fondation.
2. Trouver des réponses aux questions « fondamentales »: cette fondation va offrir de l’aide financière ou un autre support pour promouvoir les efforts à recevoir des réponses aux questions fondamentales comme « L’ âme existe t-elle? », « Y a t-il une vie après la mort? », « Est-ce que Dieu existe? », etc.
Les religions soi-disantes ne fournissent aucune réponse à ces questions de base de la vie. Elles se contredisent mêmes; selon certaines doctrines religieuses, les Hindous se réincarnent, les Musulmans ne se réincarnent pas mais les Chrétiens ressuscitent de corps et d’esprit. Qu’est-il advenu des Communistes, Athéistes, suiveurs du « Jedi», etc.? Les religions sont d’origine de plusieurs endroits à différents moments dans l’histoire. Elles peuvent nous enseigner un peu de moralité, mais c’est tout. Il n’y a pas eu d’enquête scientifique universelle en regard à ces questions fondamentales concernant l’âme, la vie après la mort et Dieu. Depuis l’enfance jusqu’à aujourd’hui, M. Saxena estime que de la plus haute importance d’obtenir des réponses à ces grandes questions de la vie.
Si l’âme ou la vie après la mort n’existe pas, s’il n’y a pas de Dieu et que nous faisons partie d’évènements aléatoires, alors notre attitude sera complètement différente que si ces choses existent vraiment.